Boycott , boy cot, cot cot cot ma banneha etjib a3thaima ou enmammeha ham ham !
ca fais longtemps que j'ai pas visité ce blog ni ce qu'on appelle la "blogsphère" , repoussé par la lègèrété et le "snobbisme" qui y reigne ainsi qu'une bonne partie de ceux qui y participent, ceux qui ne cessent de rèpeter des mots dont ils ne maitrisent pas le sens , ceux que j'appele souvent, dans mes moments de colères les singes qui miment et les perroquets qui repètent à l'infini des mots savants qu'ils ne comprennet pas , ceux pour qui le mot savant est l'equivalent d'un savon lave cervelle !
bref assez d'egocentricité et revenons au sujet de cette interventation , le boycott proposé dans le blog de bamboutch
alors voici ma réponse :
votre boycott c'est comme le saint valentin, ce jour là tt le monde est romantique tout le monde et affectueux ... une fois ce jour là passé , on revient à nos vielle habitudes, notre brutalité et notre insouciance et comme d'hab klam ellil madhoun bel zebda
3amlin comme le proverbe "ba3d ma bass lam ef5athou"
je suis contre les boycot de "fête" , le boycott snob , une cause n'est pas une prostitueé qu'on invite à notre lit pour une soirée et une fois le jour s'est élevé on la paye et on l'oublie avec le sentiment du devoir accompli, soit on a assez de courage pour epouser une cause , la traiter comme une femme qu'on ne veut pas perdre, qu'on est prêt à chérire le restant de sa vie, à qui on s'attache et qu'on cherche à conquérire chaque jour chaque heure chaque seconde, qu'on est prêt à sacrifier tout ce qu'on possède à ces pieds, pourvu qu'elle éclaire notre univers par un sourire, soit on avoue dignement son egoisme et sa lâcheté, de toute facon on ne sera pas seul au monde, loin de là!
ne vous inquietez pas, ca vous passera, une fois un semblant de calme retrouvé, on se remettera tous à chanter "bouss el wawa" pour soigner les blessés de la guerre . ca a toujours été le cas, après la guerre en irak, le siège de ramallah, la mort d'araft et son enterrement indigne de son rang ... l'histoire n'est qu'un eternel recommencement, nos réactions face à cette histoire perpétuel le sont aussi.
